Le mal se répand rapidement dans la Ville des Lumières, et de plus en plus de gens sont touchés par ses miasmes. Un très bel homme se présente dans la ville et choisit une hybride pour passer du temps avec lui mais, dès qu’ils se retrouvent seul, il se transforme et son corps se recouvre de pustules tandis qu’il attaque la jeune femme et son fils…
Visuellement parfait, DreaMaker est par contre plutôt difficile à suivre. Zilo a écrit un scénario tellement fourni qu’on s’y perd parfois. On aurait même apprécié un petit résumé du premier opus pour se remettre à niveau car on a du mal à comprendre de quoi il retourne dans la première partie de ce deuxième tome, aucun des personnages que l’on avait rencontrés jusque-là n’étant présent. Mais heureusement, petit à petit l’histoire s’éclaire, on comprend alors qu’il s’agit d’événements du passé pour expliquer les événements actuels, ce qui permet de plonger encore plus dans cet univers foisonnant. La seconde partie se recentre sur le héros et sur le conseil des Dreamakers, permettant de rencontrer un nouveau personnage, Swaan, le disciple d’Alya, plutôt drôle, que l’on espère revoir. On termine tout de même ce second opus avec plus de questions encore qu’à la fin du premier, mais toute la puissance du scénario de Zilo fait que l’on a vraiment très envie de continuer à découvrir cette histoire surprenante. Côté dessin, tout est parfaitement maîtrisé, qu’il s’agisse des décors, des personnages et encore plus des quatre cavaliers et autres créatures.
Une histoire complexe, dont on ne comprend pas encore tout, servie par de superbes visuels.
Laëtitia Lassalle
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