Visit Brussels – Épisode 2

Par | le 17 juillet 2017 |

Après un premier jour énormément riche en découvertes et surprises, notre accompagnateur cinq étoiles, Gary Divito, nous emmène sur deux sites pour trois évènements lors la deuxième partie de notre périple bruxellois. La première destination n’est autre que le Centre Belge de Bande Dessinée (C.B.B.D.) pour dans un premier temps visiter deux expositions consacrées l’une à Astérix chez les belges et l’autre à Zidrou, et dans second temps, pour assister à la conférence de presse de La Fête de la BD de Bruxelles 2017. Et enfin, la visite de l’école de BD emblématique de la ville, l’E.S.A. Saint-Luc Bruxelles, clôture la journée et le séjour. Let’s go !

Le Centre Belge de Bande Dessinée (C.B.B.D.).

Quand on entre dans le C.B.B.D., on est de suite marqué par l’écrin qui l’accueille. En effet, il s’agit d’un bâtiment de style Art Nouveau conçu par Victor Horta, en 1906, avec un immense puits de lumière central qui offre un éclairage absolument unique (Le baron Victor Horta était un architecte belge et le chef de file incontesté des architectes Art nouveau en Belgique). Un cadre magnifique dans lequel nous avons été guidés par Jacques Auquier, Directeur général des lieux. Il nous a personnellement fait visiter les deux expositions majeures du moment : Astérix chez les belges et Zidrou, un scénariste et ses complices. Avant de vous les dévoiler en images ainsi que quelques autres surprises, une petite présentation du Centre Belge de la Bande Dessinée s’impose.

Jacques Auquier : « Le C.B.B.D. a ouvert ses portes le 6 octobre 1989. En très peu de temps, ce grand musée est devenu une des attractions principales de Bruxelles. Chaque année, ce sont plus de 200.000 visiteurs qui choisissent de parcourir les expositions permanentes et temporaires qui s’y succèdent sur ses 4.200 m² de plateaux. Chaque année, le lieu attire un nombre croissant de visiteurs qui viennent parfois de très loin. En effet, aujourd’hui de plus en plus de chinois se déplacent dans la capitale belge et visitent le musée. Un clin d’œil leur est fait avec la présence d’une statue de San Mao, créé par Zhang Leping en 1935, et offerte par l’ambassade de Chine en Belgique. Il est l’un des plus célèbres personnages de la bande dessinée chinoise dont les histoires ont été adaptées au cinéma, en dessin animé et en série télévisée. Si les expositions temporaires et permanentes contribuent à faire de ce temple un lieu vivant, dynamique et attrayant, cet outil au service de la promotion de la BD (associé à la création du Parcours BD de Bruxelles, à l’émission annuelle de timbres BD, etc.), ambassadeur culturel de la Belgique, de ses régions et communautés, outil de référence réputé sur la planète BD, est aussi un centre de documentation unique au monde. Le C.B.B.D. produit également, pour de nombreux partenaires, des conférences, des ouvrages, des ateliers créatifs et leur sert de conseiller. Les moyens financiers de ce projet culturel original proviennent essentiellement des visiteurs et de la centaine d’événements qui s’y déroulent chaque année (la part des pouvoirs publics n’est pas supérieure à 10%!). »

Astérix chez les belges.

Cette exposition, qui se veut très ludique – et elle l’est – afin d’aller à la découverte des Gaulois du Nord, est ouverte depuis le 1er juin 2017 et fermera ses portes le 3 septembre 2017. Pour vous rafraichir la mémoire, le récit d’Astérix chez les belges traite des us et coutumes belges et aborde la naissance de Bruxelles, celle du courrier rapide, le waterzooï et les pommes frites entre autres. Un hommage de René Goscinny et Albert Uderzo à la Belgique pour laquelle ils avaient une grande affection. À l’instar du ton des albums d’Astérix, les petits jeux proposés tout au long de la visite sont très drôles et permettront à chacun « de mesurer son degré de belgitude ». Il y a énormément de chose à voir (des reproductions de planche, des planches originales, le parallèle géant fait avec Le repas de noce peint par Pieter Brueghel l’Ancien,…), à écouter (des cornes sortant des piliers proposent des musiques en rapport avec l’album) et à faire (quizz lumineux, puzzle de cubes, labyrinthe à bille à taille humaine, …). De quoi s’amuser et rigoler comme des petits fous mais aussi (re)découvrir certains secrets et pépites de l’album.

Zidrou, un scénariste et ses complices.

Jacques Auquier : « Zidrou, Benoît Drousie, a commencé à travailler dans la bande dessinée en même temps qu’est apparu le C.B.B.D.. C’est un instituteur. Et ce que je trouve fondamental chez lui, c’est qu’il réunit deux qualités que l’on retrouve rarement sous la même casquette : c’est à la fois un scénariste rigoureux et un fantaisiste incroyable. Il l’a d’ailleurs prouvé lors de l’inauguration de l’exposition en étant réellement un enfant, il ne jouait pas au gosse, dans la classe de L’élève Ducobu face à un Falzar qui était le professeur. C’est le même qui fait Les beaux étés mais qui raconte aussi des histoires policières, des contes fantastiques avec ses auteurs espagnols. D’ailleurs, il vit en Espagne. Il développe un catalogue tout public très traditionnel de la BD franco-belge mais également un catalogue, qui est devenu traditionnel de la BD franco-belge aussi, mais plus adulte. Les deux cohabitent vraiment bien. Et il a un rapport avec ses dessinateurs qui est un rapport vraiment complice. Ce qui est remarquable en plus chez lui, c’est qu’il est conscient de la tribune dont il profite et se sent pleinement responsable lorsqu’il écrit ses histoires. »

De sa première série jusqu’à celles en cours chez divers éditeurs aujourd’hui, ce sont de nombreuses planches originales qui sont réunies pour mettre en exergue le talent de Zidrou. Une diversité dans le style d’écriture, mais aussi dans la retranscription graphique réalisée par chacun des auteurs avec lesquels il travaille, qui sont assez incroyables et parfaitement mises en valeur. Et puis, il y a le décor complet de la classe de L’élève Ducobu (Où une visiteuse chinoise a traduit, à même un dessin sur un mur, les termes apposés sur celui-ci et où Jacques Auquier s’est prêté au jeu de la photo !), la fameuse 4L des Beaux étés mais aussi la matérialisation lumineuse des idées de Zidrou pour chacune de ses séries. Une très, très belle exposition visible depuis le 13 juin 2017 et qui sera en place jusqu’au 28 janvier 2018. Enjoy !

Gipi ou la force de l’émotion.

Nous avons bien sûr profité de notre présence au C.B.B.D. pour jeter un œil sur les autres exhibitions. L’occasion était trop belle pour ne pas la saisir et par la même de vous en faire profiter !

Commençons par l’exposition consacrée à Gianni Alfonso Pacinotti dit Gipi. Elle est ouverte depuis le 14 février et ce jusqu’au 3 septembre 2017.

« Gipi est né à Pise en 1963 et réalise des illustrations pour l’édition et la presse italienne avec laquelle il collabore régulièrement. Il est révélé en 2006 par ses Notes pour une histoire de guerre, un imposant roman graphique qui reçoit le prix du meilleur album au Festival d ’Angoulême. La même année, son récit Les Innocents est nominé aux Eisner Awards. Ses albums, autobiographiques (S., Ma vie mal dessinée) ou de fiction (Bons baisers de la Province, Le local, En descendant le fleuve et autres histoires) narrent avec beaucoup de sensibilité les relations humaines. Gipi est un auteur très original, réaliste sur le fond et expressionniste dans la forme. La puissance de son graphisme et sa narration à fleur de peau en font un auteur majeur de la bande dessinée contemporaine. »

TER « l’étranger » .

Comment ne pas succomber aux illustrations de Christophe Dubois pour ce récit de science-fiction, haletant, dépaysant et poétique, scénarisé par Rodolphe.

Mélanie Andrieu (C.B.B.D.) : « Cet album est, à double titre, fantastique ! En exposant une sélection des planches en couleurs directes de TER, le Musée de la BD salue le talent de Christophe Dubois et le travail d’édition de Daniel Maghen. Le premier volume de cette trilogie annoncée nous fait explorer de nouvelles contrées. A la fois médiéval et futuriste, c’est un voyage dans le temps et dans l’espace. Aussi, le CBBD se réjouit de proposer à ses visiteurs pour la période d’été la découverte d’un album synonyme d’évasion. Bon voyage ! »

Une exposition ouverte du 23 mai 2017 au 8 octobre 2017.

Au hasard de la balade.

À un moment donné, votre serviteur s’est égaré et a atterri dans une drôle de forêt peuplée de petits êtres bleus… Un affreux sorcier leur courrait après en criant : « Je vous aurais sales Schtroumpfs ! » J’en ai donc déduit qu’il s’agissait de Gargamel qui était à la poursuite des créatures inventées par l’immense Peyo ! Quelle chance de les avoir vus et d’avoir évité le méchant Azraël !

La conférence de presse de la Fête de la BD de Bruxelles 2017.

Ouf ! Malgré ce problème d’orientation qui aurait pu finir dans une marmite à potions, nous arrivons à temps – dans une des magnifiques pièces que recèle le C.B.B.D. – pour assister à la conférence de presse de la « Strip Feest 2017 » présentée – dans une belle ambiance – par Thierry Tinlot, journaliste belge et consultant BD pour Visit Brussels, et Micha Kapetanovic, le Directeur Events de Visit Brussels, avec l’aimable participation de Jean-David Morvan et Frédéric Jannin (Germain et nous). Une 8ème édition vraiment spéciale à plus d’un titre car il y a plein de nouveautés pour cette fête qui se déroulera du 1er au 3 septembre 2017. Parmi les plus marquantes, on peut citer d’une part, le fait que Gaston sera à l’honneur et fêtera ses 60 ans durant l’évènement, et d’autre part, le lancement des Prix Atomium, parrainés par Jean-David Morvan, qui viennent récompenser les auteurs non seulement de manière symbolique – le trophée – mais aussi et surtout financière. Rentrons un peu plus dans le détail des festivités.

Un nouveau lieu prestigieux.

En effet, cette année le festival investit le magnifique Palais des Beaux-Arts de Bruxelles, Bozar. Avec le Parc de Bruxelles, ce sont deux lieux somptueux qui vous accueillent durant trois jours.

Les Prix Atomium, les prix les mieux dotés d’Europe.

Comme nous l’avons dit plus haut, le Fête de la BD remettra pour la première fois les Prix Atomium. Visit Brussels, l’organisateur de l’évènement, et la Région de Bruxelles-Capitale marquent ainsi leur soutien à la création et rassemblent des initiatives existantes en distribuant des prix majoritairement en espèces afin de financer le travail des lauréats. Cela représente des dotations d’un montant total de 100 000€. La liste des prix est la suivante :

© Visit Brussels/Franquin

Le Prix Raymond Leblanc de la Jeune Création : C’est un Prix que nous connaissons bien puisqu’il existe depuis dix. Il a été créé par la Fondation Raymond Leblanc. Des auteurs comme Hélène V. (Fille des cendres), Manon Textoris et Julien Lambert (Edwin, le voyage aux origines) ou encore dernièrement Aude Mermilliod (Les reflets changeants à paraître au mois d’août 2017 aux éditions Le Lombard) en sont les lauréats.

Dotation : 20 000€ en espèces ainsi qu’un contrat d’édition émanant en alternance des éditions Le Lombard et des éditions Futuropolis. Pour 2017, ce sont 10 000€ remis avec le soutien de la Commission Communautaire Française – COCOF – et 10 000€ d’avance sur droits acquis définitivement sur un contrat d’édition avec les éditions Futuropolis.

Objet : Récompense le travail d’un jeune auteur n’ayant pas publié plus de deux albums.

Le Prix Fédération Wallonie-Bruxelles en bande dessinée :

Dotation : 10 000€.

Objet : À l’initiative de Madame Alda Gréoli, Ministre de la Culture de la Fédération Wallonie-Bruxelles, ce prix est destiné à récompenser un travail d’auteur(s) de la Fédération Wallonie-Bruxelles ayant développé une création originale et innovante.

Le Prix Spirou de l’aventure humoristique :

Dotation : 15 000€ en espèces et une publication dans le journal Spirou.

Objet : le Prix Spirou de l’aventure humoristique est destiné à récompenser l’auteur/les auteurs d’un récit de quarante-quatre pages d’aventure humoristique dans la tradition des séries publiées dans le journal Spirou

Le Prix Atomium de Bruxelles :

Dotation : 7 500€ en espèces.

Objet : Nouveau Prix créé cette année qui récompense un auteur qui a su mettre en avant Bruxelles dans son travail.

Le Prix PREM1ÈRE du roman graphique :

Dotation : 20 000€ en espace publicitaire ainsi qu’une forte présence rédactionnelle.

Objet : la RTBF (Radio-Télévision Belge de la communauté Française) lance ce nouveau Prix en 2017 qui récompense un genre en phase avec les auditeurs de PREM1ÈRE.

Le Prix Cognito de la BD historique :

Dotation : 3 000€ en espèces.

Objet : le Prix Cognito est remis par la Fondation Cognito et récompense la meilleure bande dessinée à caractère historique.

Le Prix LE SOIR de la bande dessinée de reportage :

Dotation : 20 000€ en espace publicitaire ainsi qu’une forte présence rédactionnelle.

Objet : le quotidien belge LE SOIR remet ce nouveau prix et récompense ainsi l’ouvrage qui traite le mieux du monde qui nous entoure sous la forme d’un reportage en bande dessinée.

Le parrain de ces prix pour cette année, Jean-David Morvan sera d’ailleurs présent durant les trois jours du festival et ce, de manière originale. En effet, il sera accompagné de son… canapé.

Les 60 ans de Gaston.

Pour l’occasion, le célèbre flemmard de la bande dessinée sera omniprésent durant ces trois jours car il est l’invité du Festival Spirou, rendez-vous annuel de la Fête de la BD. Outre cet évènement entièrement à ses couleurs, vous pourrez visiter l’exposition BOZAR, Gaston : Le Géant de La Gaffe (le commissaire de l’exposition n’est autre que l’auteur Frédéric Jannin qui connaissait bien André Franquin), assister à des conférences autour de Gaston et du travail d’André Franquin, voir le ballon géant à son effigie lors de La Balloon’s Day Parade ou encore, assister à l’incroyable performance de Max Vandervost. L’artiste a créé un spectacle musical inédit (avec la complicité de Frédéric Jannin, Thierry Tinlot, Frank Wuyts, Frédéric Dailly et Stephan Pougin), TRAGAWDOUKOUTRRR : ode au gaffophone, en hommage à l’instrument mythique à la puissance destructrice inégalée. D’ailleurs, nous avons eu droit à des intermèdes musicaux pendant la conférence pour nous en donner un avant goût. Cadre de vélo guitare, chaise musicale et aspirateur en la bémol étaient au rendez-vous. M’enfin ! Vous n’allez pas rater tout ça !

Les expositions.

Outre Gaston : Le Géant de La Gaffe, il y aura également un espace consacré au Château des étoiles, une exposition que nous avons eu le plaisir de voir lors de la 13ème édition des Rencontres du 9ème Art d’Aix-en-Provence en 2016 : Un monde Méroll, l’œuvre d’Horacio Altuna exposée à l’abri des regards sous le nom de Voyeur et l’immense Exposition Thorgal. En sus, des galeristes spécialisés BD viendront également présenter certaines de leurs pépites.

Les projections en avant-première.

Au programme du grand écran, vous aurez le plaisir de voir l’avant-première belge de Le Petit Spirou, la première diffusion belge de Polina, l’avant-première ARTE de Un ciel radieux, l’avant-première et diffusion exclusive belge de Dans un recoin de ce monde. Des projections de dessins animés et mangas sont également prévues. L’affiche est alléchante !

Pour conclure.

À ce stade de votre lecture, vous avez un aperçu général de ce qui va se dérouler durant ces trois jours de fête. Bien sûr, des espaces Éditeurs sont également prévus ainsi que de nombreuses conférences et plusieurs « Drawing shows ». Pour avoir encore plus d’informations sur l’évènement, nous vous invitons à aller sur le site de La Fête de la BD dont nous mettons le lien en fin d’article. La Ribambulle sera présente du 1er au 3 septembre 2017 pour cette 8ème édition de La Fête de la BD de Bruxelles et se réjouit par avance du programme !

L’E.S.A. Saint-Luc Bruxelles.

Nous quittons le C.B.B.D. – à regret ! – pour nous rendre à l’E.S.A. Saint-Luc Bruxelles, dernière étape de notre échappée belge, où nous sommes chaleureusement accueillis par l’un des directeurs de l’école Marc Streker (Danielle Leenaerts est co-directrice de l’établissement). Il faut savoir qu’il s’agit de la toute première école de bande dessinée qui a vu le jour en 1968 sous l’impulsion d’auteurs comme Hergé, Eddy Paape ou encore Claude Renard. Aujourd’hui, sa réputation n’est plus à faire car de nombreux auteurs que vous croisez dans les divers salons spécialisés sont passés par là. Pour exemple, nous pouvons citer Romain Renard, Benjamin Bénéteau, Philippe Berthet, Léonie Bischoff, Benoît Blary ou encore Frédéric Bézian. De même que de nombreux collectifs en sont issus : Fréon, Frémok, La cinquième couche, L’employé du mois ou encore le Le 9ème rêve. L’école édite également des livres, des fanzines ainsi que des lithographies. En ce qui concerne la fréquentation par nationalité, actuellement la répartition est comme suit : 70% de français, 25% de belges et 5% de suisses et autres. Pour ce qui est des divers cursus (Dessin et Technologie en Architecture, Création d’Intérieur, Architecture d’Intérieur, Arts Numériques, Illustration, Bande Dessiné – Éditions, Graphisme, Publicité), vous trouverez toutes les informations pertinentes sur le site de l’E.S.A. dont le lien est donné en fin d’article. Au cours de cette visite, nous avons pu voir certaines créations d’élèves et croiser certains professeurs comme Thierry Van Hasselt (Frandisco) ou Éric Lambé, récemment Fauve d’or 2017 (Prix du meilleur album) pour Paysage après la bataille avec Philippe de Pierpont. Et vous pourrez constater que Jean-David Morvan était toujours parmi nous ! Quel privilège, là aussi ! Une visite très intéressante qui donne envie d’encourager les jeunes passionnées de bande dessinées à suivre le cursus spécialisé de l’école.

Le mot de la fin.

Comme dirait Jean-Louis Aubert : « Voilà, c’est fini… ». La Ribambulle et moi-même tenons à remercier Visit Brussels pour cette invitation. Ce voyage Presse BD a été fantastique et son organisation sans faille. Cela donne envie de revenir en terres bruxelloises. Je remercie toutes les personnes qui nous ont accueilli dans les diverses institutions pour leur gentillesse, leur disponibilité, leur professionnalisme, leur humour et leurs sourires. Big Up au meilleur des guides : Gary Divito aka Five Stars. See you soon Brussels !

Liens utiles :

Visit Brussels – Rue Royale 2-4 – 1000 Bruxelles
Tél : +32(0)2.513.89.40
Site : Visit Brussels

Le Centre Belge de Bande Dessinée (C.B.B.D.) – Rue des Sables 20 – 1000 Bruxelles – Belgique
Tél : +32 2 219 19 80
Site : Le Centre Belge de Bande Dessinée

La Fête de la BD Brussels 2017
Site : La Fête de la BD

E.S.A. Saint-Luc Bruxelles – Place Louis Morichar 30 – 1060 Saint-Gilles -Belgique
Tél : +32 2 533 08 80
Site : E.S.A. Saint-Luc Bruxelles
Informations spécifiques Bande dessinée : Cursus Bande Dessinée – Éditions

Stéphane Girardot.

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Description de l'auteur

Stéphane Girardot

Département : Bouches-du-Rhône / Séries préférées : Capricorne, Alter Ego, La Quête de l’Oiseau du Temps, L’Épée de cristal, Aquablue, Le Chant des Stryges, City Hall, Lastman, Sisco, END, Sky Doll, Rapaces, De capes et de crocs, La Nef des fous… / Auteurs préférés : Andreas, Régis Loisel, Barbara Canepa, Serge Le Tendre, Olivier Vatine, Mathieu Reynès, Matéo Guerrero, Turf… / J’aime aussi : ma famille, le cinéma, la cuisine vietnamienne, le tatouage et la boisson typique du Sud (devinez laquelle !).

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